Cyril Blin de Belin immerses us in a world where fairy and tragedy merge.
Born in Paris in 1978, he lives now in Lyon & Paris.
After studying sociology (Paris 96/01), he becomes a strategic planner in communication and takes parts in the free expression workshops of the Beaux-Arts de Paris (2015/18).
Creator of the pictorial technique of oiling, he exploits the duality of the phenomenon of iridescence between fairy and tragedy to question the challenges of our time in a different way.
Strolled from an early age to antique shops and flea markets, it was with the curiosity of a young archaeologist that he explored the remains of past generations. Obsolete everyday objects, discarded trinkets and charms to faded fantasy. Iconic styles that are sometimes timeless and outdated fashion racks by the kilometer. Memories forgotten by some that revived the nostalgia of others.
From this exuberance of the past and the parade of bargain hunters where the bourgeoisie and the working classes intersected, there he came to study sociology and anthropology. This look at lifestyles and consumption then led him to help brands navigate at the speed of new cultures while committing to innovation and positive impact communication.
Child of the above-ground generations, Cyril Blin de Belin was more influenced by the antiques and the bric-a-brac of the displays than by the discovery of the fauna and flora during games in the great outdoors.
Symptom of this uprooting which alters our relationship to the living, his Proust madeleine is the smell of garages where a cocktail of hydrocarbons and paint solvents reigns.
Enfant des générations hors-sol
Child of above-ground generations
His Proust madeleine is the smell of garages where a cocktail of hydrocarbons and paint solvents reigns.
Sa madeleine de Proust est l’odeur de garages où règne un cocktail d’hydrocarbures et de solvants pour peinture.
Cyril Blin de Belin nous plonge dans un monde où féerie et tragédie se confondent.
Né à Paris en 1978, il vit entre Lyon et Paris.
Après des études de sociologie (Paris 96/01), il devient planneur stratégique dans la communication et participe le soir aux ateliers d’expression libre des Beaux-Arts de Paris (2015/18).
Créateur de la technique picturale de pétrolisation, il exploite la dualité du phénomène d’iridescence, entre féerie et tragédie, pour interroger autrement sur les défis de notre époque.
Son intention est d’interroger autrement sur la tragédie écologique.
Baladé dès son plus jeune âge chez les antiquaires et dans les vides greniers, c’est avec la curiosité d’un jeune archéologue qu’il explorait les vestiges des générations passées. Des objets obsolètes du quotidien, bibelots au rebut et breloques à la fantaisie fanée. Des styles iconiques parfois intemporels et des portants de mode désuète au kilomètre. Des souvenirs oubliés par les uns qui ravivaient la nostalgie des autres.
De cette exubérance du temps passé et du défilé des chineur.ses.s où s’entrecroisaient la bourgeoisie et les classes laborieuses, il en est venu à étudier la sociologie et l’anthropologie. Ce regard sur les modes de vie et de consommation l’a ensuite conduit à aider les marques à naviguer à la vitesse des nouvelles cultures tout en s’engageant pour l’innovation et la communication à impact positif.